L’immobilier Nantais n’a pas à s’en faire.

L’immobilier Nantais n’a pas à s’en faire.

L’immobilier Nantais se porte plutôt bien. En effet, la demande de logement est en hausse, les prix se stabilisent et la population est en constante croissance. Selon la vie immo, tous ces facteurs contribuent à faire de Nantes «l’ enfant gâté de l’immobilier»

Le marché de l’immobilier Nantais demeure largement attractif. Si la ville et sa périphérie a connu une baisse d’environ 5% en 2009, elle commence 2010 sous le signe de la réussite. Selon Marc Hein, directeur régional des expertises et des études immobilières au Crédit Foncier, «le marché est porté par les investisseurs, qui représentent les deux tiers des ventes. Et ces investisseurs trouvent très rapidement des locataires».

Les prix pratiqués dans la ville restent élevés. Les prix moyens de l’agglomération sont compris entre 2 300€ et 2 400€ du mètre carré, avec des valeurs atteignant 3 000 euros par mètre carré dans les quartiers les plus recherchés.

En ce qui concerne le neuf, les prix varient autour de 3 200 euros par mètre carré pour le cœur de Nantes et aux environs de 2 800-2 900€ du mètre carré en première périphérie, avec des pics atteignant les 3 500€ du mètre carré pour l’immobilier de prestige.

On remarque également que de nouveaux quartiers se distinguent et contre toute attente tendent à devenir attractif.

Il est certain que les quartiers au cœur de la ville traditionnellement onéreux restent très demandés. C’est le cas pour le périmètre situé entre la Loire et les boulevards du centre ou le quartier Longchamp

A noter que de nouveaux secteurs davantage en périphérie du centre deviennent attractifs depuis peu. A titre d’exemple, c’est le cas des communes telles que La Chapelle-sur-Erdre, Vertou ou Orvault.

De plus un quartier tel que Beaulieu, qui souffrait d’une image négative il y a quelques années a retrouvé une certaine attractivité auprès des acquéreurs. «En comparaison avec le centre-ville le rapport des prix était d’un à six dans les années 90 contre un à deux ou trois aujourd’hui» précise Marc Hein.

C’est également le regroupement de 23 communes décidé par les élus Nantais qui a au lieu d’avoir un seul centre-ville privilégié. permis de développer un véritable effet métropole Cette décision garantie une certaine homogénéité, il y a moins de différences entre le centre ville et sa périphérie.

Un second facteur est à prendre en compte: des discutions entre acteurs économiques et politiques ont conduit à la limitation de l’étalement urbain. La ville est désormais amenée à se construire sur elle même.

Ainsi, l’immobilier Nantais reste dynamique et offre aux vendeurs comme aux acquéreurs de belles perspectives d’avenir.

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